L'ensauvagement invasif a gagné le terroir breton
L'agession violente et lâche, à coups de "wallah", d'un lycéen de LOUDEAC ce vendredi 19 septembre dans l'espace public illustre l'ensauvagement nouveau qui gangrène aussi la Bretagne et son terroir, une incivilisation qui réside trop souvent dans les mœurs de populations nouvelles peu compatibles avec nos modes de vie. Reconquête! 22 et Parents Vigilants dénoncent la politique des pouvoirs publics qui installe cette violence importée, et se félicitent de la résistance à CALLAC qui a su anticiper et prévenir cette dégradation.
Il apparaît que ce passage à tabac s'est déroulé non loin du lycée Fulgence Bienvenüe d'où sont issus plusieurs des protagonistes. On apprend par ailleurs que cette attaque n'est qu'une nouvelle étape dans une succession d'accrochages violents au sein même du lycée cette semaine. Ce contexte vient tragiquement contrarier les tonitruantes, mais pathétiques et stériles adjurations du président MACRON qui, en 2024, exhortait à faire de l'école un sanctuaire protégé de la violence déshinibée. Chacun observe au contraire que la violence en milieu scolaire s'enkyste et devient endémique.
Si les causes sont multiples, on sait néanmoins que la violence à l'école est aussi le reflet de la violence dans la société. A cet égard, la question lancinante de l'insécurité revient, implacable. Elle est largement à la première place des préoccupations des Français et la vidéo qui circule sur l'agression de Loudéac met par ailleurs en évidence le caractère allogène de certains des assaillants. La population locale cherche à se protéger, à se défendre. Ce fut par exemple la réaction salutaire des Callacois au défunt projet Horizon en 2022. Ce furent, il y a une semaine, les centaines de milliers d'Anglais qui se rebellent contre une immigration subie et hors de contrôle. En fait, il est temps que, globalement, les peuples européens reprennent en main leur destin, pour leur sécurité et pour leur survie, tout simplement. En cela, Reconquête! se bat sans relâche avec eux.